Tuesday, September 1, 2009

Ma critique de "Glass a portrait of Philip in Twelve Parts"

Through the Glasses
Outre une partie de sa carrière consacrée à la musique de films, Philip Glass ne laisse pas indifférent les cinéastes : après avoir été au cœur des 4 american composers de Peter Greenaway, c’est aujourd’hui Scott Hicks qui lui consacre un documentaire. Pour le réalisateur de Shine c’est un double retour aux « sources » : celles du documentaire, activité qui l’occupa une vingtaine d’année entre l’Australie et les Etats-Unis (où il fut à la tête de gros projets pour Discovery Channel, avec un Emmy Award à la clé) ; puis celles du portrait de musicien qui le fit découvrir dans la fiction en 1996. Glass a portrait of Philip in twelve parts s’est cependant développé comme un projet très atypique : si Hicks a rebondi sur une proposition faîtes d’un documentaire pour marquer le coup des 70 ans du compositeur, il s’agit d’une aventure très personnelle pour lui, très éloignée de l’idée de commande : c’est en ce sens ce qu’il offre de plus libre depuis son chef d’œuvre, La neige tombait sur les Cèdres en 1999 [...]

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